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A l'ombre de nos mots
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12 novembre 2011

"Cloué" sur Votre lit, Vous avez su me faire

"Cloué" sur Votre lit, Vous avez su me faire comprendre que Vous étiez encore le Maître...

Plus que jamais même !

J'ai fauté en ayant un rapport sexuel avec mon slave, non pas que je n'ai pas le droit d'en avoir, mais comme pour tout autres rapports de ce genre, je me dois de Vous en tenir informé avant de passer à l'acte...

Donc punition...

C'est l'esprit tourmenté, une boule au ventre, que j'ai passé la journée d'hier, attendant fébrilement cette soirée fatidique que Vous m'aviez promis.

Une femme, les yeux bandés, doit recevoir du plaisir de françois et Vous en donner.

Vous me tenez à l'écart une bonne partie de la journée mais, en fin d'après-midi, Vous me faites appeler à Vos côtés et Vous "prenez les commandes" de mon slave, lui donnant, d'une voix rude, les instructions pour préparer la salle à manger dans laquelle, pour plus de commodités, trône Votre lit.

Partagée entre colère et jalousie, je regarde françois s'activer... Lui, mal à l'aise, n'ose pas me regarder.

Une fois tout prêt à Votre convenance, Vous lui ordonnez d'aller se mettre en tenue car "N/notre" invitée ne va pas tarder.

Je demande à "me refaire une beauté", mais Vous refusez d'un ton sec, disant que ça ne serait pas moi la Vedette ce soir, que mon apparence Vous importe peu et que de toute façon, je ne pourrais jamais rivaliser avec une telle beauté...

Mais d'une voix mielleuse, Vous rajoutez qu'il me faut Vous aider à "vider Votre trop plein" pour que Votre érection future fasse honneur assez longtemps à la Star de la soirée.

Disant celà, Vous repoussez le drap qui recouvre votre ventre, découvrant ainsi Votre sexe déjà tout tendu.

La gorge serrée, je Vous prends en main...

Votre queue durci encore plus quand Vous me parlez des "charmes" de Votre invitée, de ce que Vous attendez qu'elle fasse, de ce que Vous avez envie de lui faire...

Votre semence jaillit sur Votre ventre en même temps que les larmes sur mes joues...

Vous éclatez de rire, Vous moquant de moi et de mes yeux rougis et boursouflés, et Vous appelez françois.

Il arrive, tout penaud, nu, son collier de chien au cou.

Je détourne la tête, ne voulant pas qu'il voit que j'ai pleuré.

- " Nettoie moi ça !" Lui dites-Vous en lui montrant Votre ventre.

Devant l'hésitation de mon slave, Vous partez d'un grand éclat de rire en ajoutant :

- " Avec une lingette, garde ta langue pour la petite chérie qui va pointer le bout de son nez d'ici quelques  minutes!"

Je ne sais dire ce que je ressens à ce moment là !

Envie de prendre la défense de françois, envie de tout stopper... mais aussi... envie de Vous Mon Maître, envie de Vous faire oublier cette autre qui Vous fait si bien bander sans être encore là !

Silencieux, françois n'ose pas bouger.

Il reste debout près de moi, tête baissée.

Je me doute combien le fait d'être dominé par Vous doit lui être difficile, mais il ne bronche pas, stoïque il attend Vos ordres.

Vous regardez l'heure et lui dites que Vous avez le temps de répéter un peu avant l'arrivée de l'invitée.

-"Tu ne vas pas l'accueillir avec une bite molle quand même ?! Allez astique ton outillage !"

Je pose discrètement ma main sur la cuisse de françois pour l'encourager à obéir.

Il commence à se branler sans conviction et sa queue, d'habitude si réactive, reste flasque entre sa main...

D'un ton agacé Vous lui dites :

- "Bon, on va te mettre plus en situation pour te faire ressembler d'avantage à un homme ! Bandes les yeux de Klara et mets toi à quatre pattes."

Une fois les yeux bandés, j'attends... puis je sens qu'on manipule mon fauteuil roulant, mes jambes s'écartent, la tête de mon slave s'approche de mes cuisses, fourage entre mes jambes pour soulever ma robe...

Je n'ose l'aider, ni attraper sa tête pour mieux l'appliquer contre ma chatte comme je le fais d'habitude...

Sa langue me lèche enfin et je reçois comme une décharge électrique dans le creux des reins...

Me faire lécher comme ça devant Vous m'excite énormément Mon Maître.

Et celà doit exciter aussi françois, car Vous le félicitez pour sa bandaison naissante, lui ordonnant de se branler pour être le plus raide encore.

Je sens les mouvement de va et vient de mon slave et de l'imaginer en train de se masturber fait tomber toute ma réticense à prendre du plaisir dans ces circonstances, et je jouie sous les caresses de sa langue.

Vous le félicitez pour sa prestation "linguale" et lui demandez de nous servir une coupe de Champagne, ajoutant que ça aidera à nous mettre tous en condition.

Je vais pour enlever mon bandeau mais Vous me sroppez d'un "NON" sans réplique !

Puis Vous adressant à françois :

- " Tu débandes déjà ! cette soirée va être un fiasco si tu ne te tiens pas mieux ! Tu vas être obligé de te servir d'un gode pour honorer ma petite chérie ! Pff si c'est pas malheureux ! Regarde, moi qui ai déjà jouie tout à l'heure je suis à nouveau aussi raide qu'un piquet ! mets ton bâllon-gode pour voir si tu sais t'en servir au moins, ça compensera toujours un peu ton manque de rigidité !"

Je boue ne pouvoir voir la réaction de mon slave, je l'entends quitter la pièce, surement pour chercher le gode demandé. 

Je termine mon Champagne cul-sec, casse la coupe en voulant la reposer sur la tablette près de moi...

Vous riez...

François reviens, Vous voulez savoir comment il se sert de son bâillon et le revoilà entre mes cuisses...

Votre téléphone sonne, je Vous entends "lui" dire d'une voix câline, cette voix que Vous employez pour me faire craquer... que Vous êtes impatient, que Vous bandez pour Elle, que votre slave arbore une belle bite prêt à la défoncer... Vous la traitez de cochonne, de belle salope... Vous lui dites d'arrêtez sinon vous allez être obliger de Vous branler encore avant son arrivée et que ça serait dommage car Vous comptez bien quelle Vous déguste comme elle sait si bien le faire....

Pendant votre coup de téléphone, françois redouble d'ardeur dans ses mouvements de tête... par excitation ? pour me distraire de ses paroles assassines ? Toujours est-il que le gode me pilone de plus en plus vite.

Je jouie de rage plus que de plaisir je pense, mais ma jouissance jaillit d'un coup innondant le visage de mon slave...

- " C'est bien ma Salope, enlève ton bandeau. Toi françois, va enlever ton bâillon, débarbouille toi et ramène ta CB."

D'une voix toute tendre, Vous me dites en me tendant la main.

-" Approche toi petite conne, regarde comme tu me fais bander, allez débrouille toi pour m'avaler"

Pas facile sur mon fauteuil roulant, mais en prenant appuie sur ma jambe valide, je réussi à Vous prendre en bouche... Vous m'aidez en Vous m'asturbant et j'ai enfin l'honneur de recevoir Votre jouissance au fond de la gorge..

Sur le moment je ne comprends pas trop votre revirement d'attitude...

François qui attendais sagement à l'encoignure de la porte, s'approche de nous, le regard en forme de point d'interrogation, la queue raide et la CB à la main...

Vous éclatez de rire Mon Maître, lui disant que vu l'état de sa queue elle ne rentrerait jamais dans sa CB...

- "Tu as bien honoré la femme aux yeux bandé en la faisant jouir deux fois, maintenant, rends hommage à ta Maîtresse, ramène la dans sa chambre et fais lui offrande de ta semence. Revenez ensuite ici tous les deux"

Une fois dans ma chambre, françois reste un long moment sa tête posée sur mes genoux, je caresse ses cheveux et  lui dit que c'est le moment de me donner mon cadeau.

Sa queue qui avait eu tant de mal à se dresser tout à l'heure est maintenant toute tendue et c'est les yeux plongés dans les miens, à ma demnde, qu'il éclabousse mon pied de son foutre...

Nous revenons vers Vous Mon Maître.

Vous nous tendez une main à chacun en souriant. 

-" Pratique la simulation d'appel hein?"  Vous riez devant notre air hébété.

Puis, Vous me demandez de mettre la cage à mon slave et m'embrassez tendrement, me promettant que la prochaine fois, il y aurait bien une "ELLE"...

Mais il n'y aura pas de prochaine fois, j'ai bien compris la leçon... françois aussi ;-)

 

 

 

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Commentaires
S
Opprimée à lire tes mots car j'aurais ressenti les mêmes émotions, j'aurais réagi et pensé de la meme façon...très dure punition!! vraiment !<br /> si contrastant avec le dénouement<br /> quel libération finale! <br /> A savourer...
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